Une deuxième chance pour les entrepreneurs
Si tout le monde s'accorde pour reconnaître la part de risque inhérente à l'activité de l'entrepreneur, pourquoi trouve-t-on beaucoup moins de monde lorsqu'il s'agit de lui reconnaître le droit à l'échec ?
"Lorsqu'une banque refuse l'ouverture d'un compte à un entrepreneur qui a liquidé une entreprise, c'est comme si vous refusiez à un joueur de participer à Roland Garros sous prétexte qu'il a perdu un match avant le tournoi"( Renaud Bouthier, fondateur d'Avenir Santé)
Nos voisins belges ont au moins le mérite de se pencher sur un véritable problème, qui chez nous, ne mérite pas la moindre intérêt de la part des médias.....
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